Que je tienne le cou, que je tienne ton cou que je serre, que j’extirpe la langue de ton gosier, que je t’arrache le bruit du mensonge…
Pour qu’il y ait une victime, il faut qu’il y ait un bourreau, dites-vous…
Que je te tienne le cou, que je le serre, que je te coupe le souffle, que je te souffle les coups, que je t’attache à tes promesses d’éternité…
Pour qu’il y ait un bourreau, il faut une victime.
Vous ne dites pas.
Pour que je tienne le coup ?
Vous ne dites pas.